a DIRTYMIND.
C EST EXACTEMENT DANS DES STRUCTURES COMME CELLES CI QUE LES CADRES COMPETENT DOIVENT EVOLUER POUR S HABITUER A UN CADRE NON REGIE PAR DES REGLES TRIBALES GENRE FONCTION PUBLIQUE ;ET POUR PLUTARD PROMOUVOIR CET ESPRIT DANS LE SYSTEME NATIONAL.

Mohamed hanefi
vous avez raison, en plus ces travailleurs sont divisés même pour la restauration. Les cadres ou seniors, ainsi que les expatriés ont des cuisiniers professionnels avec des menus divers variés enrichis qui n'ont rien à envier aux restos 5 étoiles; alors que les juniors ou non cadre, ont un menu mal préparé qui se répète presque toute la semaine, nuit et jour. Comme on dit ils mangent tout simplement pour pouvoir tenir. Alors que c'est ces derniers qui ont la société en mains, c'est eux qui effectuent les travaux durs, dangereux, exposés aux risques.

Au moins faire un même menu pour tous les employés. Du directeur général, au dernier employé le même menu.

Si on parle des salaire encore l'écart est très très grand entre ces seniors qui sont dans des bureaux climatisés à se connecter sur le net durant toute la journée et ces juniors qui sont debout ou occupés à leurs travaux durant toute la journée.

@sitalha
Les postes en question dont tu parle autant les priver des nationaux. Nous savons tous que si jamais nous les occupons, nous allons finir par privilégier des considérations tribales ou familiales au détriment de l'intérêt général

Le dénouement de cette grève a permis de trouver des solutions mutuellement acceptables aux questions soulevées par les employés dans un esprit de confiance et d'entente mutuelle, pour l'intérêt de l'entreprise et de ses employés.

Soyez plus clair, ça sent le roussi. Les employés ont eu gain de cause ou pas.

la conjonture est difficile seulement pour les nationaux et c est l entendement de Tasisiat que ce sont les seuls qui doivent payer; pourtant elle continue a recruter les expatries a des postes ou des mauritanieens sont largement competents; ca c est le premier pas vers l economie;

La moindre morale impose a cette société de donner a ces travailleurs assez de miettes des fruits de leu sous-sol. Nous ne pouvons plus croire aux droits de l’homme, si ceux qui les ont rédigés, enseignes et prônés partout, sont les premiers à les enfreindre. Pour une simple raison du plus fort et du plus développé.

Surtout que ces hommes et ces jeunes a la fleur de l’âge, risque chaque minute leurs vies entre le danger du cyanure et les accidents mortels d’engins hors du commun